Consultation climat simple
Open Climate Politics
Artificialisation, précarité, rénovation : une autre économie du bâtiment est-elle possible?
Les bâtiments résidentiels et tertiaires représentent aujourd’hui près de la moitié de la consommation d’énergie nationale et près d’un quart des émissions de GES ; ils consomment 51 millions de tonnes de matériaux par an pour leur construction et participent directement à l’artificialisation des sols.
Une réflexion sur une autre économie du bâtiment est donc à entreprendre.
Cette proposition est en cours de réalisation
Les réalisations de la collectivités
Les bâtiments vacants et les résidences secondaires se transforment en résidences principales. Nous souhaitons limiter de la construction et optimiser le parc de logements existant. Conformément à ce que prévoit l'ADEME cela "permettrait de réduire drastiquement le nombre de constructions neuves, et donc la consommation de matériaux de construction, ce qui engendre une réduction des émissions de GES de l’industrie liée à l’activité bâtiment".
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
Détails du commentaire
Vous ne voyez qu'un seul commentaire
Voir tous les commentaires
Conversation avec Open Source Politics
Réponse au commentaire portant sur le débat "Artificialisation, précarité, rénovation : une autre économie du bâtiment est-elle possible?"
Réponse au commentaire portant sur le débat "Artificialisation, précarité, rénovation : une autre économie du bâtiment est-elle possible?"
Chargement des commentaires ...